Témoignage d’octobre 2018, un copain, B., raconte les conséquences d’être enfermé au CRA et déporté quand tu vis en France : perte de logement, de tout ce que t’as chez toi, de tes potos, de la famille.
Le copain déporté de force au 44e jour, témoigne aussi de ce que c’est la justice en france. Des juges qui ne t’écoutent pas, mais parce que c’est pas leurs métiers. Leurs métiers c’est de valider les décisions de la prefecture, de donner l’illusion aux copain.e.s qu’y a des recours « légaux possibles ».. et limiter tant que possible les révoltes collectives.
Toutes ces paroles de l’intérieur nous rappellent l’arbitraire quotidien de la justice et des condés. Que tout ça est bien organisé par l’état et tous ses echelons. Une seule conclusion : A bas l’état, les flics et la justice !